Laurence BOURGEOIS

Diplômée de l'Université Paris IX-Dauphine, j'ai acquis une expérience d'une vingtaine d'années dans les métiers des ressources humaines et du marketing.

En 2011, je m'appuie sur ces deux domaines de compétences (ainsi que sur ma passion pour l'art) pour offrir aux artistes "Profession Artiste - Vivre de son art" (Editions Eyrolles). Moins d'un an après sa publication, "Profession Artiste" est devenu LA référence des artistes amateurs et professionnels. L'ouvrage a été réédité en janvier 2015 sous le titre : "Vivre de son art - Les clés de la réussite pour concilier passion et business". 

Suite à cette première expérience d'écriture réussie, je me lance dans l'écriture de "Ecrire un livre et se faire publier" (Editions Eyrolles).

A partir de 2013, je décide de m'appuyer sur mon vécu dans l’entreprise, et plus particulièrement sur mon expérience Ressources Humaines, en proposant un essai sur la critique :"Eloge de la critique et des jeux de pouvoir en entreprise" (Editions Eyrolles).Toujours sur fond d'entreprise paraît fin 2013 "13 trucs infaillibles pour être bien vu en entreprise - Souriez, vous êtes évalué !" (Editions Eyrolles).

Plus récemment, les Editions Eyrolles me sollicitent pour participer à la rédaction d'ouvrages collectifs. En janvier 2015 paraît Les fiches outils du coaching, ouvrage auquel je contribue sur la thématique : "comment vendre le coaching à un DRH". En 2016, je rédige le chapitre "Gestion des Ressources Humaines" du collectif Les fiches outils de la création d'entreprise.

Aujourd'hui, je prends plaisir à écrire des fictions, ayant essentiellement pour thématique le monde du travail. J'aime traiter de problématiques que nous rencontrons en situation professionnelle : désincarnation des rapports humains, défaillances managériales, culte de la performance et de la perfection, joies nées du liens social, etc. Fin 2016, je reçois le 1er prix de la "Nouvelle du Travail". 

Je viens de finaliser un recueil de dix-sept nouvelles. Et j'ai dans les tiroirs deux romans qui verront peut-être le jour, qui sait ?